Aris, un Grec, devient "personne" dans son propre pays et lutte pour se reconquérir, vivant comme un étranger.
Vassilis Mazomenos lutte de l’intérieur, mène un combat à plein poumon par le biais d’un cinéma hors-mainstream, là où la métaphore l’emporte sur le prêt-à-porter, quitte à déboussoler le spectateur, à l’indigner. D’où une intentionnelle et flagrante direction d’acteurs, laissés à eux-mêmes. L’improvisation est fréquente, comme s’il s’agissait d’un Happening théâtral mené par une équipe en délire. Délire de la scène (ici, des lieux), des possibilités qu’elle donne aux comédiens, transgression dans les mouvements, sexualité débridée (même si, sur ce point, d’autres cinématographies nationales vont quand même un peu plus loin) et plus que tout, une liberté aguerrie.
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