Lorsqu'un adolescent se retrouve pris dans une réalité glitchy-glitzy avec son idole masculine à l'écran, il fait tout ce qu'il peut pour être possédé par cet homme et ignore les indices violents de la façon dont il est arrivé là.
Ce Playdurizm se voit plusieurs fois. Et un second visionnage permet d'y voir plus clair, ce n'est plus le même film (...) et l'on réalise alors que le film s'ouvre sur des cris, que les dialogues fonctionnent à double-sens, que les présences d'un cochon, d'un club de golf ou d'une salle nommée Videoclub n'ont rien d'anodin. Une nouvelle réalité s'offre à nous (...). Et tout fait terriblement sens, sans la moindre afféterie ni la moindre pose, jusqu'à son sublime plan final. (...) Gem Deger, du haut de ses 23 ans, n'a rien laissé au hasard : il a composé son film comme Francis Bacon aurait tiré son portrait.
At its heart, PLAYDURIZM is a story of a queer individual who has chosen to place themself in their favorite movie, starring the object of their celebrity crush, to escape a particularly traumatic event. In Demir’s case, it is sexual assault. Demr’s ability to restructure his favorite movie to play out as if they were the main character is PLAYDURIZM’s biggest strength. Ultimately, PLAYDURIZM’s meta-ness is a step beyond the usual. Deger’s vision is pop art of the darkest kind. It’s wholly unique and deserves to be seen by more horror fans.
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